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Robert Morel
Célébration du lit par Claude Aveline

Célébration du lit par Claude Aveline

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Célébration du lit par Claude Aveline

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Robert Morel

Catno

CEL43

17€*

*Taxes included, shipping price excluded

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Broken Music is an essential compendium for records created by visual artists. The publication was edited by Ursula Block and Michael Glasmeier and originally published in 1989 by DAAD. Broken Music focuses on recordings, record-objects, artwork for records, and record installations made by thousands of artists between WWII and 1989.It also includes essays by both editors as well as Theodor W. Adorno, René Block, Jean Dubuffet, Milan Knizak, László Moholy-Nagy, Christiane Seiffert, and Hans Rudolf Zeller, as well as a flexi disc of the Arditti Quartet performing Knizak’s “Broken Music.” The centerpiece of the publication is a nearly 200-page bibliography of artists’ records.Works chosen for the publication revolved around four criteria: (1) record covers created as original work by visual artists; (2) record or sound-producing objects (multiples/editions/sculptures); (3) books and publications that contain a record or recorded-media object; and (4) records or recorded media that have sound by visual artists.Artists documented in the volume include Vito Acconci, albrecht/d., Laurie Anderson, Guillaume Apollinaire, Karel Appel, Arman, Hans Arp, Antonin Artaud, John Baldessari, Hugo Ball, Claus van Bebber, John Bender, Harry Bertoia, Jean-Pierre Bertrand, Joseph Beuys, Mel Bochner, Claus Böhmler, Christian Boltanski, KP Brehmer, William Burroughs, John Cage, Henri Chopin, Henning Christiansen, Jean Cocteau, William Copley, Philip Corner, Merce Cunningham, Hanne Darboven, Jim Dine, Marcel Duchamp, Max Ernst, Lawrence Ferlinghetti, Fischli and Weiss, R. Buckminster Fuller, Allen Ginsberg, Philip Glass, Jack Goldstein, Peter Gordon, Hans Haacke, Richard Hamilton, Bernard Heidsieck, Holger Hiller, Richard Huelsenbeck, Isidore Isou, Marcel Janco, Servie Janssen, Jasper Johns, Joe Jones, Thomas Kapielski, Allan Kaprow, Martin Kippenberger, Per Kirkeby, Cheri Knight, Milan Knizak, Richard Kriesche, Christina Kubisch, Laibach, John Lennon, Sol Lewitt, Roy Lichtenstein, Annea Lockwood, Paul McCarthy, Meredith Monk, Josef Felix Müller, Piotr Nathan, Hermann Nitsch, Albert Oehlen, Frank O’Hara, Claes Oldenburg, Yoko Ono, Dennis Oppenheim, Nam June Paik, Charlemagne Palestine, A.R. Penck, Tom Phillips, Robert Rauschenberg, The Red Crayola, Ursula Reuter Christiansen, Gerhard Richter, Jim Rosenquist, Dieter Roth, Gerhard Rühm, Robert Rutman, Sarkis, Thomas Schmit, Conrad Schnitzler, Kurt Schwitters, Selten Gehörte Musik, Richard Serra, Robert Smithson, Michael Snow, Keith Sonnier, Strafe für Rebellion, Jean Tinguely, Moniek Toebosch, Tristan Tzara, Ben Vautier, Yoshi Wada, Emmett Walsh, Andy Warhol, William Wegman, and Lawrence Weiner.Ursula Block is a curator living in Berlin, Germany. From 1981 until 2014, she ran gelbe Musik, a gallery and record shop in Berlin that featured work by artists at the crossroads between music and art.Michael Glasmeier is a professor, writer, and editor living in Berlin, Germany. Since the early 1980s, he has curated dozens of shows that explore the intersection between the visual arts, music, film, and language.280 pages
Jungle, ambient jungle, techstep, speed garage, darkcore, grime, dubstep, funky… Depuis le début des années 1990, une série de styles musicaux s’est répandue du Royaume-Uni jusqu’aux dancefloors du monde entier. Ces musiques électroniques ont pris forme autour d’une passion pour la basse, les breakbeats, les sonorités issues du dancehall et le fracas des samples d’orchestre. Alimentées par les drogues (ecstasy, kétamine) et longtemps indissociables des radios pirates, elles composent ce que le critique britannique Simon Reynolds (Rétromania, Le choc du glam) a nommé le « continuum hardcore », pour mieux insister sur leur histoire commune. Dans ce livre, Reynolds revient sur ses propres expériences pour nous faire (re)découvrir une foule de maxis et de morceaux légendaires ou oubliés. Il revendique leur radicalité contre le mépris de classe, écoute les rapports féminin/masculin se transformer au cœur des infrabasses, et les réinscrit dans les trajectoires de la diaspora anglo-jamaïcaine et le multiculturalisme anglais. Avec son écriture à haute intensité, entre essai et reportage, cette anthologie inédite constitue un hommage sensible à l’énergie de la rave ainsi qu’un manifeste en prise sur l’innovation et la catharsis des dancefloors, à l’heure où les sonorités hardcore reviennent exorciser l’« anxiété généralisée » d’un capitalisme passé en mode turbo.280 pagesTraduction : Jean-François CaroRéalisation graphique : Charlie JaniautIllustration : Stephen Vuillemin
une biographie suivie d’une introduction à la musique minimaliste-Joseph GhosnCette musique déroule le temps lentement, se déplie et se déploie, mais ne se feuillette pas à la légère. Et elle est essentiellement un exercice de solitaire, ou en tout cas une musique que l’on écoute à la maison le plus souvent seul et lorsque l’on voudrait voir la nuit tomber très vite.Impossible de la faire tenir dans un ipod, impossible non plus d’en parler dans les dîners mondains. Essayez d’expliquer à votre voisin de table ou de bureau que vous écoutez un disque de La Monte Young, il commencera par ne pas vous comprendre, vous demander de répéter ce nom étrange, pour finir par se dire que vous n’êtes sans doute pas tout à fait normal.Ce qu’il ignore, c’est qu’au-delà de La Monte Young, existe un univers foisonnant de musiciens anxieux et avides de créer une musique suspendue, tenue longtemps, lentement, qui prend son temps.Et tout La Monte Young tient bien dans cette impossibilité, cette inaccessibilité au monde qui contraste violemment avec les années deux mille, celles du désir de communiquer, de vouloir être connu, d’exprimer sa voix. Dans un monde où tout le monde peut avoir un blog ou faire de la musique grâce à des logiciels, La Monte Young est à la fois un anachronisme et un modèle : parfois, pour faire œuvre, il faut se faire oublier et laisser les autres œuvrer pour vous.Finalement, les disques de La Monte Young sont arrivés chez moi presque par hasard. J’en ai trouvé un, en CD, abandonné dans un rayon d’une Fnac. D’autres m’ont été trouvés ici et là, en France, en Allemagne, ailleurs, par des amis qui connaissaient ma passion dévorante pour tout ce qui touchait à ce compositeur et son histoire. Avec les années, j’ai acheté des exemplaires de son disque sur Shandar, de ceux qu’il a produits pour Pandit Pran Nath, trouvé quelques CD, dont des bootlegs assez somptueux. J’ai même possédé plusieurs exemplaires de chacun de ses vinyles, j’en ai offert, échangé, revendu, racheté, perdu, retrouvé, je ne sais plus. Mais parmi eux tous, il y en a un qui m’obsède plus que tous les autres. Il s’agit du Black Record, sorti en 1969 et édité à 2 000 exemplaires par Édition X, un label appartenant au galeriste munichois Friedrich Muller. Ce disque de bout de nuit, de bout du monde est encore disponible à la vente sur le site de l’artiste. Mais qui ne se sépare pas de ses exemplaires, signés, pour moins de 300 dollars pièce.

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