Open today: 11:00 - 13:00 | 14:00 - 19:00

By continuing your navigation on this website, you accept the use of cookies for statistical purposes.

Allia Editions
Please Kill Me – L’histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs // Gillian McCain, Legs McNeil

Please Kill Me – L’histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs // Gillian McCain, Legs McNeil

Product title

Please Kill Me – L’histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs // Gillian McCain, Legs McNeil

manufacturer

Allia Editions

Catno

ISBN: 979-10-304-1224-6

“Richard Hell s’était fabriqué un tee-shirt avec marqué Please Kill Me, mais il ne voulait pas le porter. J’ai dit : ‘Je vais le mettre, moi.’ Alors je l’ai mis quand on a joué à l’étage au Max’s Kansas City, et, après le concert, ces gamins se sont pointés vers moi. Ces fans m’ont jeté ce regard vraiment psychotique – ils ont regardé aussi profond qu’ils ont pu dans mes yeux – et ils ont demandé : ‘T’es sérieux ?’ Puis ils ont poursuivi : ‘Si c’est le cas, on se fera un plaisir de t’obliger, parce qu’on est tes plus gros fans !’ Ils n’arrêtaient pas de me mater, avec ce regard sauvage, et je me suis dit: ‘C’est la dernière fois que je porte ce tee-shirt.’”

Please Kill Me est le fruit (vénéneux) de centaines d’heures d’entretiens avec ceux qui ont animé l’un des mouvements culturels et musicaux les plus détonants de la fin du XXe siècle : le punk-rock américain. Réalisé sous forme de montage nerveux, extrêmement vivant et souvent impitoyablement drôle ou tragique, ce livre dans lequel les voix se répondent rarement pour s’accorder nous offre une plongée incroyable dans la vie quotidienne pleine de bruit et de fureur, de drogues, de catastrophes, de sexe et de poésie (parfois) du Velvet Underground, des Stooges d’Iggy Pop, du mc5, des New York Dolls et des Heartbreakers de Johnny Thunders, de Patti Smith, de Television, des Ramones ou encore de Blondie. Avec gouaille, une verve redoutable ou un humour pince-sans-rire, les acteurs ressuscitent pour nous les anecdotes les plus délirantes des différentes époques de leur vie, à tel point qu’on a l’impression de partager avec eux leurs galères, qu’on étouffe de rire à l’évocation des frasques d’Iggy Pop déchaîné ou d’un impayable Dee Dee Ramone. L’enchaînement irrévérencieux des points de vue provoque des effets comiques souvent irrésistibles, puisqu’ici, comme l’indique le sous-titre, aucune censure n’a cours : les amitiés indéfectibles côtoient les antipathies persistantes et les amours explosives (Connie et Dee Dee, Sid et Nancy). Personne ne semble pourtant avoir la moindre honte à dévoiler ce qui fut bien souvent un mode de vie extrême, moins centré, par rapport au punk anglais, sur l'image et dédié avant tout à une certaine forme d'innocence paradoxale, refusant aussi bien les idéaux peace and love éculés des années 60 que la culture de l’argent roi qui se profilait avec l’arrivée des années 80. Mais cette innocence verse un lourd tribut à ses excès (overdoses, coups de couteau, prostitution) et manipule la dérision comme une arme de destruction massive.

Traduit de l'anglais par Héloïse Esquié.

format : 170 x 220 mm
640 pages

25€*

*Taxes included, shipping price excluded

Other items you may like:

Original (vintage) acid house badge from old shop deadstock. Small version (2.5 cm). This is a vintage item, see picture for condition (might have some stains due to age !).
"Mon expérience de cette musique a été influencée par les aléas récents de ma vie : j'ai beaucoup voyagé ces temps-ci, généralement en voiture. N'étant que vitesse, la techno est la musique idéale pour de pareils déplacements : ses rythmes répétitifs, ses mélodies minimales et ses modulations de textures conviennent parfaitement aux perpsectives toujours changeantes d'un trajet à haute vitesse. Par ailleurs, le crépitement des sonorités électroniques évoque de manière troublante le bruit sec des synapses, forcées à traiter un déluge d'informations ininterrompu et toujours plus dense."Dans Machine Soul ("l’âme des machines"), Jon Savage retrace toute l’avancée de la musique électronique, en la resituant dans le contexte socioculturel des pays qui l’ont vue émerger (Allemagne, Angleterre, France, Belgique, États-Unis). Loin des idées reçues, il apparaît que la techno, cet art du bruit, ce "boom boom" sauvage qui a fleuri dans les années 70, est l’aboutissement d’une véritable pensée conceptuelle : celle qui vise l’harmonie entre l’homme et la machine, l’état de transe créé par la répétition des boucles sonores, une projection dans le futur. Des premiers DJ (Kraftwerk, Juan Atkins...) jusqu’à la popularisation de la techno et l’arrivée des autodidactes, de la musique underground à la musique de dancefloor, Jon Savage parcourt l’histoire de la techno comme les rayons de lumière balayent la foule des "teuffers". Le texte s'ouvre sur la description d'un concert de Orbital, Savage comparant les DJ aux personnages de La Guerre des étoiles… Avant tout, la techno est une performance, au sens artistique.Traduit de l'anglais par Étienne Menu.format : 90 x 140 mm64 pages
Original (vintage) acid house badge from old shop deadstock. Big version (3.5 cm). This is a vintage item, see picture for condition (might have some stains due to age !).
Featuring Kenji Takimi, Heidi Lawden, Nicky Siano, Christophe Lemaire, Cale Sexton, Vidal Benjamin, Georgia, Matthew Higgs, Yasmina Dexter, Ivan Berko and Current Wave: Contemporary T-Shirts From the Scene.248 pages, Perfect bound, Softcover